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Au Cabinet Kinesioka, les HP sont rois et reines !

Le mode de fonctionnement d'un cerveau qualifié de "sur-efficient" ou "haut potentiel intellectuel / émotionnel" constitue un des terrains de prédilection de votre kinésiologue et c'est totalement intégré dans votre séance de kinésiologie.

Un mariage d'Amour & de Raison entre les hauts potentiels intellectuels/émotionnels et la kinésiologie, est-ce vraiment possible ? 

Lorsque ces deux grands sujets se rencontrent, les atomes tourbillonnent avec beaucoup d'émotions et de couleurs. Eh oui ! Être "HP" n'est plus une étiquette à brandir pour se présenter. 

La kinésiologie possède des outils pour mieux accompagner cette tranche de la population dont le nombre semble être grandissant à mesure que les neurosciences mettent enfin des noms sur cette "sur-efficience".

Qu'est-ce qu'un ou une "HP" ? Une HP, c'est une imprimante..., un HP c'est une personne dont la rencontre est extraordinaire. Elle vous perçoit avec tous ses sens, qui se croisent dynamiquement comme dans Excel et génère une image d'une densité, d'une variété et d'une perspicacité étonnante, le tout, pendant qu'elle pense en même temps aux 10 projets qu'elle a sur le grill.

A présent, imaginons ensemble la conversation suivante se dérouler pas très loin de vous dans un bus.
- Salut, je peux m'asseoir ici ?
- Nan! Dégage, tu réfléchis trop, on ne comprend rien quand tu parles !

Pour l'avoir vécue durant ma jeune adolescence, cette attaque verbale est non seulement dure à digérer, mais génère beaucoup d'incompréhension hormis le rejet qui, bien entendu, est un des premiers ressentis qui se manifeste.

Mais alors que du rejet germe déjà la gangrène de la honte avec ses basses fréquences destructrices, la réflexion s'accélère et cent mille idées nous parcourent la tête comme dans un accélérateur de particules.
"Comment ose-t-il me parler comme ça?"
"Il n'a jamais été éduqué!"
"Il y a des règles de bienséance qui existent!"
"Il y a un cadre et ce n'est pas pour rien."
"Et s'il avait raison?"
"Est-ce que vraiment on ne me comprend pas quand je parle? Pourtant, je développe l'idée et le concept."
"Est-ce que je ferais mieux de me taire?"
"Est-ce que je m'exprime mal? J'articulerai mieux la prochaine fois"
"Est-ce que vraiment j'ai envie qu'il y ait une prochaine fois?"

Vous pouvez facilement imaginer la suite des réflexions. Le tourbillon s'accélère et aucune soupape n'est capable d'absorber la pression montante. Et alors, parfois, c'est l'implosion. On peut se taire, voire, se terrer dans un mutisme pour éviter de ressentir à nouveau ce rejet, cette honte et cette incompréhension généralisée. Suis-je vraiment si différente ?

Lorsque dans la trentaine, je m'étais installée au premier rang d'une classe de biologie, j'avais annoncé à la prof que je posais des questions de détails, pas dans le but de la gêner, mais parce que j'avais besoin d'une réponse pour pouvoir aller de l'avant, même si cela paraissait inutile pour elle. 
Pour moi, cela avait son importance pour que ma construction secrète d'usine à gaz puisse fonctionner correctement. 

Cette prof m'avait interpelée à la pause en me demandant si je n'étais pas diagnostiquée HP ou Asperger ? 
Je lui ai dis que je n'en avais aucune idée, et que jamais personne ne m'avait posé la question. 
Elle m'avait dit que j'en présentais les caractéristiques et que, si je le souhaitais, je pouvais remplir un questionnaire assez long pendant la pause. J'ai naturellement coché "oui" à la plus grande majorité des cases pour le diagnostique HP. Plus tard, une recherche pour un trouble de type Asperger a été totalement écarté.

Ce jour-là, j'ai pris conscience que ce fonctionnement du cerveau atypique portait un nom qui était connu et reconnu : haut potentiel intellectuel.
Elle m'avait demandé si j'étais intéressée à accompagner des enfants et ados diagnostiqués HP dans l'association dans laquelle elle était présidente. 
A l'époque, je n'avais pas d'outils professionnels à proposer, découvrant moi-même cette appellation, et j'ai répondu par la négative. J'ignorais qu'un long chemin m'amènerait une quinzaine d'années plus tard à découvrir en quoi la kinésiologie pouvait être un sérieux atout pour mieux vivre ce fonctionnement extraordinaire du cerveau.

En trois années merveilleuses de formation de kinésiologie, j'ai pu enfin trouver le moyen de calmer l'agitation dans mon cerveau, arriver à me concentrer sur un seul sujet à la fois (et non 11 qui a été mon record personnel), ralentir la suractivité cérébrale sans en perdre la précieuse essence et en pouvant accéder enfin à mon plein potentiel.

Et surtout, je ne ressens plus le besoin de me présenter en disant : "bonjour, je suis HP, je fonctionne différemment mais je me porte bien". Actuellement, je me présente en disant "bonjour, je suis Kinesioka, qu'est-ce que je peux faire pour vous ?"

Être HP n'est plus ma fatalité, c'est devenu mon potentiel ! (pote en ciel...)
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